La ville des guerriers

( Bon, j'invente, je savais plus où commencer un RP. Si on continue, le forum va repartir )

( J'espère que ça ne te dérange pas, Silvania, on pourrait commencer à écrire un peu partout, non ? )
Leya marchait vers l'avant, elle rentrait finalement chez elle. Cet endroit, cette ville était faite pour elle. Des missions, des chevaliers, des ninjas et des guerriers. Mais surtout, des ninjas. Aucun habitant de ce village ne faisait de magie. Pour l'instant, tès peu de gens faisant de la magie étaient venu. Lorsqu'elle pénétra les portails, deux voix retentir.

Leya, bienvenue, tu reviens de mission ?
Nous avions hate de te revoir !
La jeune fille tourna les yeux surprises. C'était les gardiens de la porte du village. Assis à une sorte de comptoir, ils surveillaient les entrées et sorties. Elle ne s'attendait pas à ça. Les gens du village la détestait normalement. Ils étaient tombé sur la tête ou quoi ? Elle leur sourit tout de même et répondit :
Merci, oui, je reviens de mission.
Elle hésita, puis demanda gentilment :
Que me vaux cette accueil ?
Qu'est-ce que tu veux dire ?
Normalement, les gens ne sont pas du genre à me saluer comme ça.
Les deux hommes échangèrent un regard et haussèrent finalement les épaules.
Il y a un début à tout, non ?
Leya leur sourit à nouveau puis continua sa marche. Les regards se tournaient comme d'habitude vers elle. Elle regarda cependant devant elle s'en leur faire attention. Il y eu soudain des éclats derrière elle, provenant des portes, mais ce n'était pas nécessairement de mauvaises choses. Leya, surprise, tourna les talons et revint vers les portes.

Siryn regarda les gardien qui commençaient à l'entourer d'un air affolé. Sa cape violet foncé camouflait ses ailes et son capuchon, ses cheveux. Mais aparemment, quelque chose l'avait trahi. Les gardiens n'avaient pas sorti d'Arme ou quoi que ce soit. Simplement, ils avaient l'air agité et l'entourait en la bombardant de questions.
-Qui êtes-vous ?
-Que faites-vous ici ?
-Vous cherchez quelque chose ?
Siryn ouvrit la bouche puis la referma, un peu confuse. Elle regarda autour, mais les gens du village ne faisait que la regarder. Peut-être que ses yeux attiraient l'attention.

Louanie avait rabatut son capuchon sur ses oreilles et regardait au sol pour ne pas que les gesn voyent ses pupilles de chats. Elle évita tout le monde, n'accrochant rien sur son passage, et s'assurait de ne pas trop faire bouger sa queue sous sa cape. Ce serait une catastrophe si quelqu'un le remarquait. Elle vit une jeune fille se faire interroger par les gardiens et elle eu envie de l'aider. Elle se dirigea vivement vers elle et prit la jeune fille par les épaules :

Ça fait des heures que je te cherche ! Viens !

Elle sortit la jeune fille du rond de gardiens qui, intrigués, ne savaient pas comment réagir. Louanie fit comme si de rien n'était et parla à voie basse pour que seule la jeune fille l'entende :

Ne vous en faite pas, j'ai juste voulu vous aider. Ces gardiens sont de vraies sangsues quand ils le veulent. Ne faites pas comme si vous ne me connaissiez pas, ça pourrait attirer les soupçons et ils reviendraient.

Elle continua de marcher, bien normale, en s'assurant que les gardiens ne les suivaient pas.

Un peu ébranlée, Siryn la remercia.
C'est très gentil à vous, murmura Siryn.
Puis, comme si de rien n'était, elle dit :
J'étais prit à l'extérieur, pardonne-moi.
Soufflant avec soulagemment, elle et l'autre jeune femme se mélèrent à la foule.
Pour vous avertir, je suis Siryn, souffla Siryn.
Elle trouvait que, pour agir normalement avec une personne, il fallait au moins connaître le nom.

Leya, curieuse comme la plus part du temps, suivit les deux femmes. Elle joua des coudes pour réussir à les suivre à travers la foule. Elle ne cessait de s'excuser en heurta des gens. Elle aggripa alors leur bras doucement et les tira dans un ruelle. Elle se mit ensuite face à elle et sourit d'un air d'excuse.
Pardonnez-moi. Mais je n'ai pas l'impression que vous êtes d'ici, non ?

Louanie eu un sourire, montrant ses petites dents pointues :
Non, en effet que je suis pas d'ici. Je m'appelle Louanie, je suis une femme-chat.
Elle eu une légère révérence polie.

Siryn jeta un regard inquiet vers l'entrée de la ruelle. Ne voyant personne, elle abaissa sa capuche, décoilant ses longs cheveux de plumes et ses yeux comme ceux des aigles. Elle releva aussi sa cape qui montra ses ailes.
Je suis une femme oiseau. Je ne viens en effet pas d'ici non plus. Pourrions-nous cependant savoir qui tu es et pour quelle raison tu agis différemment des autres ? demanda Siryn.
Elle eut l'impression d'avoir été un peu froide et le regretta. Elle avait cependant hâte d'avoir la réponse de la jeune humaine. Une drôle de pensée en tête. Une femme chat, une femme oiseau. Oiseau, chat. Elle se demandait si les autres avaient eu la même réflexion.

Louanie eu un sourire moqueur, elle avait pensée à la même chose.
Disons que j'ai apprit à ne pas laisser aller mes instincts de félins envers les gens qui ne sont pas mes ennemis. Je n'attaquerais pas, si c'est ce que vous vous demandez.
Elle remit sa capuche, juste au cas...

Siryn rit et imita Louanie. Elle jeta un coup d'oeil à Leya, attendant ce qu'elle dirait.

Leya sourit.
En effet. Je ne vais pas vous regarder comme si vous étiez des créatures étranges. Je vais seulement vous aider si vous avez besoin d'aide.
Elle sourit.
Je suis humaine, ninja, je me nomme Leya. Je connais ce village sur les doigts de ma main.
( Trouve une idée, je suis à bout )

(euh...les gardes reviennent à la charge !)
Louanie allait rajouter quelque chose mais ses oreilles se redrèssèrent d'un trait. Des pas précipités se dirigeaient vers elles. Louanie se retourna et vit avec horreur et panique les gardes courir vers elles, épées à la main.

Merde ! Ils ont dû nous repérer !

Les ailes de Siryn frémirent sous la cape.
- Merde, dit-elle à son tour.
Elle jeta un coup d'oeil à Louanie ; elle serait capable de se sauver facilement, puisqu'elle était agile. Leya, cependant.
- Désolée, dit Siryn à Leya.
Elle l'aggripa par les bras et battit des ailes qui apparurent derrière la cape. Elle s'envola, Leya dans ses bras.
- Vite, Louanie !
Elle vola sur place en attendant qu'elle bouge. Cependant, elles devaient faire vite avant que les gardes ne les voient.

Louanie sauta prestement sur le toit d'une bâtisse :

Partez, je vais les attirer de l'autre côté !

Elle créa des images des deux autres et partit en courant, suivit des images, dans l'autre sens.

Leya s'agitait dans les bras de Siryn. Celle-ci a tenait fermemant, heureusement, elle n'aimait guère l'altitude.
- Qu'est-ce que vous faites, s'écria Leya, c'est sûr que si vous vous enfuyez, ils vout vous courir après.
Les soldats poussaient des cris en-bas.
- Arrêtez, hurla Leya. Reposez-moi. Vous allez vous attirez des ennuis.
Elle parlait bien sûr aux deux autres filles. Son teint pâlissait alros qu'elle regardait ses pieds s'agiter dans le vide.

Siryn écouta ce que disait Silvania et s'éloigna en volant. Elle ne prit pas garde au cri de Leya et continua de voler.
- Nous n'avons guère l'intention de les laisser nous prendre pour des bêtes de cirque, dit Siryn d'un ton sec.
Elle vola un bon moment et sentit alors Leya faire un haut le corps. Siryn attérit aussitôt sur le toit le plus proche et posa Leya sur le sol.
- Oups, désolée, dit Siryn., en retenant son petit rire nerveux.
Elle regarda plus loin. Elle irait aider Silvania dès que Leya irait mieux.

Leya se pencha et eut un au le coeur. Elle alla plus loin et vomit. Elle détestait les voyages dans les airs. Elle leva un rgard furieux sur Siryn.
- Attends ici que ton amie revienne. Vous n'avez aucun droit d'agir ainsi dans une ville qui n'est même pas la votre.
Elle toussa un moment et se leva. Elle s'approcha deu rebord. Elle vit Silvania au loin et leva une main.

Va falloir que tu me donne des explications dans ce cas -_-*

"Vous n'avez aucun droit d'agir ainsi dans une ville qui n'est même pas la votre."

Il va falloir que tu m'explique ce qui est permit -_-*

( Nous ne sommes pas de ce village, nous sommes nouveau. C'est comme aller en vacance sauf que là, c'est pas des vacances. Nous n'avons aucun droit de nous sauver de l'autorité, c'est tout. Enfin, c'est ce que elle dit )